Le Roman Noir lyrics

Song information

Artist: Misanthrope
Album: Oeuvres Interdites

Lyrics

Déguste les joies de mon absurdité orpheline
Mes peintures s'extirpent de leur cadre chétif
Les statues s'animent et rampent à côté de leur socle
Recroquevillé, nu sur une tombe, le christ s'abondonne
Dévisagé par un moine impudique, l'enfant tordu de ses yeux masqués
Observe... ces sexes dansant d'une telle impunité

Tourne avec moi les pages de ce roman noir
Empire de douleur, aube de souffrance

A jamais impudique de la prière au sacrifice
Sombrement couronné empereur
Dévoué aux luxurieux artifices

Sculpture à la verge noire
Le mal t'incite, l'interdit t'excite
Sache que tout voile blanc s'arrache et se frippe
Rien n'exile la violence macabre de l'absurdité orpheline

Si la douleur s'essoufle, quand la mort n'est pas prête
Je prends la forme insidieuse et secrète: la mélancolie

Accompagne moi sur un sentier tourmenté
Dépravation, hypocrisie, viol

Tourne avec moi les pages de ce roman noir
Empire de douleur, aube de souffrance

A jamais impudique de la prière au sacrifice
Sombrement couronné empereur
Dévoué aux luxurieux artifices

Si la douleur s'essoufle, quand la mort n'est pas prête
Je prends la forme insidieuse et secrète: la mélancolie

Accompagne moi sur un sentier tourmenté
Dépravation, hypocrisie, viol

Déguste les joies de mon absurdité orpheline
Mes peintures s'extirpent de leur cadre chétif
Les statues s'animent et rampent à côté de leur socle
Recroquevillé, nu sur une tombe, le christ s'abondonne
Dévisagé par un moine impudique, l'enfant tordu de ses yeux masqués
Observe... ses sexes dansant d'une telle impunité

D'où me vient ce goût pour la domination?
Es-tu mon esclave, mon fouet, mon compagnon?

Tourne avec moi les pages de ce roman noir
Empire de douleur, aube de souffrance

A jamais impudique de la prière au sacrifice
Sombrement couronné empereur
Dévoué aux luxurieux artifices

Sculpture à la verge noire
Le mal t'incite, l'interdit t'excite
Sache que tout voile blanc s'arrache et se frippe
Rien n'exile la violence macabre de l'absurdité orpheline

Dieu, pauvre homme pervers, avide de pouvoir terrestre
Fleuve dont on ignore la source, ta joie ne sera jamais complète

Si la douleur s'essoufle, quand la mort n'est pas prête
Je prends une forme insidieuse et secrète:
La mélancolie